• fetes244.gif      La coutume de décorer le sapin est née en Égypte.
        En effet, l'arbre était en réalité une petite pyramide de bois qui imitait les gigantesques pyramides et qui était un symbole culturel.  Noël (2)

        Un voyageur rapporta cette idée de la terre des pharaons en Europe.
        Une partie des populations germaniques, scandinaves et russes l'adoptèrent pour célébrer le solstice d'hiver, le retour du soleil et la chaleur dont l'Égypte est le symbole. 


        Un disque solaire surmontait la pyramide. Plus tard, les arêtes de cette figure géométrique furent garnies de bâtonnets auxquels on mettait le feu. Si le feu atteignait la pyramide, l'année serait non seulement heureuse mais très fructueuse.

     

    Noël (1)

        Ce fut Martin Luther qui, au dire de certains, remplaça ce simulacre égyptien par le sapin, qui rappelait la pyramide par sa forme. Ses branches toujours vertes pouvaient être, même en plein hiver, un présage de printemps.

    N (3)    Ce sont les luthériens qui eurent l'idée de couvrir l'arbre de petites bougies, pour remplacer les bâtonnets de bois. Ces lumières représentent la vie et la foi.


        Voici une des belles légendes qui entourent l'arbre de Noël :

        Il était une fois en Allemagne, il y a très longtemps, un bûcheron. En rentrant chez lui, par une d'hiver claire mais glaciale, l'homme fût ébahi par le merveilleux spectacle des étoiles qui brillaient à travers les branches d'un sapin recouvert de neige et de glace.

      N (2)    Pour expliquer à sa femme, la beauté de ce qu'il venait de voir, le bûcheron coupa un petit sapin, l'emporta chez lui, et le couvrit de petites bougies allumées et de rubans.  Noël (3)

        Les petites bougies ressemblaient aux étoiles qu'il avait vu briller, et les rubans, à la neige et aux glaçons qui pendaient des branches.

        Des gens virent l'arbre et s'en émerveillèrent tant, surtout les enfants, que bientôt chaque maison eut son arbre de Noël.

    Et une autre:

        La légende raconte qu'il y a très longtemps en Allemagne, une maman s'affairait à

    préparer les décorations de Noël; l'arbre était dressé, la maison nettoyée et les araignées chassées. Le soir, le calme et la sérénité revenus, les araignées revinrent et découvrirent le sapin, elles entreprirent aussitôt l'assaut de l'arbre, le recouvrant de leurs toiles grises et poussiéreuses.   fetes490.gif
    N (5)    Lors de l'arrivée du Père Noël pour la distribution des cadeaux, il fut ravi de découvrir les araignées heureuses et satisfaites de leur travail de décoration du sapin, mais il ne pu s'empêcher de penser à la tristesse de la mère qui allait retrouver son arbre décoré de toiles.

        C'est pourquoi, pour satisfaire tout le monde le Père Noël transforma la décoration de fils grisâtres en fils d'or et d'argent. L'arbre de Noël se mit alors à scintiller et à briller de tous ses feux !


    Les légendes de Noël

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  •  U (1)   Après les deux heures passées à Oradour, il était grand temps de rejoindre familles et amis situés dans les départements de la Dordogne du Lot et Lot et Garonne, je ne vous en parlerais point.

       Une quinzaine de jours plus tard, le 22 mai exactement, il faisait un temps magnifique aussi nous votons à l'unanimité pour un retour en passant par la région de Bordeaux où mon compagnon a séjourné il y a de cela près de 50 ans.

       Perché en sentinelles sur une colline dominant la vallée du Lot, Pujols nous attend pour déjeuner avant la visite.

        Cette ancienne place forte albigeoise a traversé les siècles et les guerres en conservant son caractère médiéval : vestiges des enceintes et du château, portes fortifiées...

       Outre le charme de ses maisons aux façades blanches ou à colombages, le village est fier d’avoir deux édifices religieux: l’église Saint-Nicolas et l’église Sainte-Foy décorées de fresques du XVIème siècle. Sur la place, face à la halle se dressent de belles maisons à colombages avec souvent de jolies enseignes, des ruelles qui nous invitent, et bien sur un magnifique panorama s'offre à nous sous le soleil.

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  •  V (1) 

       Interrompue par St Nicolas, je reviens à Mortemart.

       Je mets le cap sur le Périgord où mon amie habite mais comme nous aimons les petites routes, le hasard fait que nous passons près d' Oradour.


       J'y suis allée lorsque j'étais encore qu'une gamine, vers mes 16 ans environ, ce qui fait au moins 45 ans et le souvenir de cette visite est encore douloureux.

       Mon compagnon a voulu visiter le village en ruine mais je ne l'ai pas suivi, j'ai eu assez de mal à classer la cinquantaine de photos qu'il m'a ramenées.


       Je n'en publierais aucune du lieu du martyr, je vous laisse avec le mémorial que j'ai trouvé très beau, il n'existait pas lors de ma première visite.

     

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  •  W St Nicolas de Myre (3)   Dimanche, enfin lundi,  nous serons le 6 décembre, on fêtera Saint Nicolas, le patron des enfants.

        De nombreuses légendes racontent qu'il a fait plein de miracles autour de lui.

        Surtout, il fait le tour des villes, souvent avec son âne, dans la nuit du 05 au 06 décembre pour distribuer bonbons et friandises aux enfants sages. Les autres reçoivent une correction du Père Fouettard mais ce dernier est de moins en moins sollicité.

        Il se fête dans de nombreux pays au nord et nord-est de l'Europe mais aussi en Alsace et Lorraine dont il est le St Patron.

     

        « Ils étaient trois petits enfants qui, s'en allaient glaner aux champs, » comme dit la chanson, « Perdus, ils demandèrent l'hospitalité chez un boucher qui ne trouva rien de mieux que de les tuer, les découper et les mettre au saloir.

    Saint-Nicolas vint à passer sept ans plus tard et demanda à son tour l'hospitalité. Il insista pour manger le petit salé préparé sept ans plus tôt. Le boucher s'enfuit et Saint-Nicolas ressuscita les trois enfants. »

        C'est donc une légende heureuse, mais néanmoins assez effrayante. Selon certaines traditions, le père Fouettard qui accompagne Saint-Nicolas serait en fait le boucher de l'histoire. Pour lui faire regretter son méfait, ce dernier l'aurait condamné à l'accompagner lors de sa distribution de récompenses, en lui assignant la tâche de punir les enfants désobéissants.

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  •   X (1)    Nous voici arrivés en plein Limousin!.

       Petite étape à Mortemart, visite du village en partie sous la pluie.

       Heureusement la halle située au centre de la place royale, (elle est entièrement en bois) nous a bien abrités.

        La seigneurie de Mortemart est née avant l’an mille et le village s’est développé autour de l’ancienne motte féodale puis du château de pierre construit en 995 par le seigneur de Mortemart, Abon Drut. Détruit au XIVe siècle par les Anglais. Il est reconstruit sur un site différent, puis démantelé sur ordre de Louis XIII. Il est resté en ruine jusqu'au début du XXe siècle.

     

       En 1330, le cardinal Pierre Gauvain, natif du village, changea totalement le visage de Mortemart. Il fonda trois monastères : les Augustins, les Carmes et les Chartreux (disparu au siècle suivant), un hôtel-dieu et un collège. De nos jours, les religieux sont partis mais les bâtiments ont survécu, ainsi que les maisons anciennes qui font le charme de ce village.

     

       L'église des Augustins (XIIIe siècle), aujourd'hui église paroissiale, elle est d'une grande austérité. Elle renferme de splendides stalles du XVe siècle de style flamboyant ; le chœur est décoré d'un magnifique retable baroque.

       Le couvent des Augustins, aujourd'hui propriété privée.

       Le couvent des Carmes fait face à l'église des Augustins, il est d'une grande sobriété mais conserve de nombreux éléments intéressants comme son portail classique et son escalier.

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  •   Y (8)

      

    Toujours sur ma carte des « plus beaux villages de France », nous continuons vers St Benoît qui est au carrefour du Berry et du Limousin, sur un rocher granitique en surplomb de la rivière, cette ancienne cité médiévale habitée par les moines bénédictins nous a invitée, derrière ses remparts, à une charmante balade dans ses ruelles pentues, à la découverte de ses demeures des XVe et XVIe siècle, de son église et de son prieuré mais aussi de la vallée du portefeuille sur laquelle le village offre une jolie vue.

     

     

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  •   Z (5)     En partant de Sancourt, nous faisons étape à Yèvre le Châtel qui n'est plus une commune depuis 1973, rattaché à Yèvre la ville.


       Un passé chargé d'histoire:

        Situé sur un éperon rocheux dominant la Rivière, Yèvre a longtemps été une place forte que les romains occupèrent. Au début du XIIe siècle, Louis VI le Gros racheta le fief pour en faire une châtellenie royale et le siège d'une prévôté. Le château actuel fut construit sous le règne de Philippe Auguste (au début du XIIIe). La visite comprend le château fort, la poterne, les remparts, l'église Saint-Gault et les vestiges de l'église Saint-Lubin.


        Vous l'avez deviné, Yèvre le Châtel est classé parmi « Les Plus Beaux Villages de France ».


        Le temps était médiocre mais nous avons eu une petite éclaircie pour cette visite incontournable à seulement 90 km de Paris.

        Comment résister à l'attrait de ses petites rues très vertes et fleuries?. Elles vous conduisent près de l'ancien puits, sur la place du bourg, ou au pont de Souville qui enjambe la Rimarde.

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  •  AAA (2) Lors de nos voyages, nous boudons les autoroutes et les grandes villes, nous préférons la campagne. Sur les routes secondaires, nous traversons des kilomètres de champs, prairies, forêts et ce que nous voyons en premier d’un village au loin, c’est son clocher.

    Il y en a de toutes formes, hauteurs et couleurs et je suis souvent attirée par ces édifices qui sont, pour la plupart, très anciens.

    Au Portugal, je trouve que les églises sont très belles, bien restaurées et entretenues.

         

    Je vous en livre quelques-unes unes, vous remarquerez que certaines sont entièrement recouvertes d’azulejos (céramiques décoratives).

    J’ai déjà publié un article sur les azulejos, je laisse le lien ce-dessous ainsi que tous les articles qui sont sur le Portugal.

     

       

     

       Sameice

       Fontaines et lavoirs...

       Portugal 2006

       Le Retour

       Au nord du Portugal

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